| | Lou-Swazik • « - T’es tombée ? – Non, je fais la bise au sol, idiot. » (FINITE INCANTATEM *out*) | |
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| Sujet: Lou-Swazik • « - T’es tombée ? – Non, je fais la bise au sol, idiot. » (FINITE INCANTATEM *out*) Sam 7 Avr - 16:53 | |
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Lou Swazik Neverson ★
nom : Neverson, Lou-Swazik. Me demandez pas où mes parents ont été chercher ça, je sais pas, quoi qu'il en soit, j'aime mon prénom. Mais les gens m'appellent Lou généralement. Déjà parce qu'ils arrivent jamais à prononcer Swazik... Si c'est vrai, quand je dis que je m'appelle Lou-Swazik, on me répond A tes souhaits, ce que je trouve particulièrement lourd. Et puis on m'appelle Lou parce que c'est plus court aussi. Pourtant, on dit bien que plus c'est long, plus c'est bon, donc je comprends pas. ● âge : 23 ans, et NON ! c'est pas vieux. ● date et lieu de naissance : 24 décembre (oui, joyeux noël haha) à Paris. Oui en France, la ville de l'amûûûûûûûr ! Enfin vu l'état dans lequel était mes parents quand ils m'ont conçu, j'appelle pas ça de l'amour. ● nationalité : beh française hein. ●origines : bon alors moi je suis une franco-chinoise-américaine. Ca t'en bouche un coin, hein ? J'ai la classe, je sais. ● orientation : Je suis hétéro. Enfin j'sais pas, enfin p't'être... Ce que je sais, c'est que je suis chocolatophile. Ah si si, je ne résiste pas au chocolat. Puis saviez-vous que le chocolat contient de l'endorphine ? Ca donne la sensation d'être amoureux ! Willy Wonka, sors de ce corps. ● statut : en couple avec le célibat. C'est l'amour fou entre nous, si si. ● occupation : j'travaille à la friperie noeud ouille. Vous savez, le magasin de vêtements trop classe dans l'quartier Jappe au nez ? Beh voilà. ● groupe :Ramon Tafraise
HEY HEY TOI ! Oui toi, pas ma grand-mère ! J’me présente, je suis Tom, enfin tu dois sûrement le savoir, à part si tu es nouveau, tu es là depuis quand dis-moi ? « TOM ! Mais tu me reconnais pas ? Oyo, wake up mec ! Enfin chat. C'est moi, Lou, la fille qui habite Jerrytown depuis qu'elle a trois ans. Alors hein, je te connais, tu me connais, on se connaît... Elle est pas belle la vie ? comme le jambon Fleury Michon, oui oui. Ca fait donc 20 ans que je squatte ici. Je voulais en partir puis finalement non, parce que c'est chez moi. », ouais j’me disais bien avec ta tronche de babouin constipé… OSEF ! On est ici pour faire connaissance non ? Alors tiens, racontes moi la plus grosse connerie que tu n’ai jamais faite ? « Connerie drôle ou connerie pas drôle ? Parce que connerie pas drôle, ça serait sûrement d'être tombée amoureuse d'Alexander, qui m'a laissé du jour au lendemain comme si j'étais une crotte de pigeon séchée. Sinon, dans le genre connerie, j'en ai fait pleins, même si j'en ai pas l'air. Mais bon, la plus grosse remonte sûrement à quand j'étais plus jeune... Ouais j'avais 13 ans. J'étais punie pour le 4 juillet, la fête nationale quoi, et j'étais trop dégoûtée de pas pouvoir voir le feu d'artifice, donc j'ai décidé que puisque je ne pouvais pas aller au feu d'artifice, ce dernier viendrait à moi ! J'ai allumé les fusées dans la maison, fait un trou dans le tapis, mis le feu au canapé et cassé la télé. Et, en prime, je me suis payée un immense fou rire. Bon, j'ai moins rigolé quand ma mère est arrivée... Ouais, elle est venue en mode Zorro est arrivéééé ! Justicier masqué, mais sans cheval. ». HAAAAAN et bah tu sais quoi ?? Tu ne m’impressionnes pas du tout, et ouais ! T’as jamais participé à une de nos interventions avec Jerry ? Un flashmob ? Une bataille de farine et d’œuf ? « Depuis que je suis là, j'ai bien dût participer à une de vos interventions hein. J'suis douée pour lancer la farine et les oeurfs, même si jouer avec la nourriture, ceylemal. Mais maintenant que je ne suis plus une rigolote, non je fais plus rien. Alors ouste avec tes questions, sinon je t'arrose. », ouais ouais, j’espère te voir à la prochaine ! Bon bon… Sinon, c’est quoi ton plus grand défaut ? « Je suis trop... comment dire... froide. Dure. Quand je ne connais pas les gens, je suis assez renfermée sur moi-même, et même agressive. Ouais, c'est pas cool, mais c'est un moyen de défense comme un autre hein. Je ne montre jamais ce que je ressens, certains m'appellent coeur de glace, tu vois le genre ? C'est pas vrai en plus mais je préfère qu'ils croient ça. Au moins, ils me foutent la paix ! », ah ouais.. Moi je dirais que tu en as plus que ça, de défauts, surtout sur le visage, ton surnom ce n’est pas calculator ? Bref, et sinon, ta plus grande qualité ? « C'toi le calculator, espèce de... de... de chat ! Commence pas à chercher la guerre, sinon j'te balance une tarte à la crème dans la tête, tu vas rien comprendre à ta vie mon coco héhé. Ma plus grande qualité ? Oh beh tu sais, une fois qu'on a réussi à percer ma froideur, je suis plutôt sympathique comme fille. Si c'est vrai ! J'aime bien m'amuser avec les gens que je connais. Je suis la reine des grimaces, je sais très bien faire les pires grimaces qui existent, tu veux voir ? Non ? Tant pis pour toi ! », comment tu te valorises trop ! Ce n’est pas pour te casser, ou si, mais bon, t’as rien d’exceptionnel, ah si ? Et quoi donc ? « Avoir un enfant, ça compte ? Non parce que oui, je suis maman d'un môme de trois ans, figure-toi. Sauf que je m'en occupe pas... C'est ma mère qui l'élève. Ah, je ne suis pas une mère indigne ! J'aime mon bébé, je te promets, seulement je me sens incapable de l'élever seule... Il me rappelle trop son père si t'es intelligent, tu pigeras que le père c'est THE Alexander qui m'a laissé tomber sans que je sache pourquoi et donc c'est au-dessus de mes forces. Mais je vais le voir quand même hein, mon bébé ! C'est juste que je ne m'en occupe pas, je ne vis pas avec lui. », bah écoute, si tu le dis hein… Dis tu n’aurais pas vu Jerry ? Il est tout le temps en retard !! ARGH ça m’énerve ! Tu ferais quoi à ma place, l’embrocher quand il arrive ou lui sauter dans les bras ? « Moi je guigandélirerais avec lui. Quoi, tu connais pas la guigandélire ? Incuuuulte ! Va demander au Chapelier Fou d'Alice. C'est genre LA danse la mieux au monde, même si c'est un peu compliqué à faire. Mais si Johnny Depp y arrive, pourquoi pas moi ? », moi je ne ferais pas ça, en fait je ne vais rien faire parce qu’il ne va pas venir, gogole ! Bon et bien tête de bite, je vais te laisser, ce n’est pas la dernière fois qu’on se croise, je t’ai à l’œil maintenant, prend garde à tes fesses !
ton pseudo : Dow ● ton âge : t'aimerais bien savoir hein ? ... 19 ans. ● comment as-tu découvert le forum? : j'en entends parler depuis longtemps ! ● présence : vu qu'en ce moment, j'ai mon ordi que les week-end, ça sera pas souvent, mais sinon, je suis touuuut le temps là, ah si si, j'vous jure ! ● ton avatar : kristin kreuk ● tu es : j'suis un inventé moi ● crédits : tumblr ● ze secret : code validé mon poulet (dorryan) ● un dernier mot : la réponse D, c'est mon ultime bafouille.
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Dernière édition par Lou-Swazik Neverson le Sam 7 Avr - 21:56, édité 5 fois |
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| Sujet: Re: Lou-Swazik • « - T’es tombée ? – Non, je fais la bise au sol, idiot. » (FINITE INCANTATEM *out*) Sam 7 Avr - 16:53 | |
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> Il était une fois, toutes les histoires commencent comme ça... « Et là, c’est Lou dans son costume de lapin, au primaire… » « Mh, je sais Molly, j’étais là. Je vous rappelle que je connais Lou depuis qu’on a trois ans. » Je me frappe le front avec la main. Ma mère est une cassos. Montrer des vieilles photos de moi à Alexander, alors que c’est lui qui me connaît sûrement mieux que n’importe qui ! Je lève les yeux au ciel et les rejoins dans le salon, me laissant tomber entre eux. « Lou, Alexander sait déjà tout. Dis-moi quelque chose qu’il ne sait pas et que je pourrais lui raconter ! » Ma mère et sa manie de toujours vouloir raconter quelque chose… Je contemple mes ongles, puis relève les yeux avec un petit sourire. « La façon dont j’ai été conçu ? » Ma mère fait les grands yeux, comme si on venait de lui enfoncer un œuf d’autruche dans les fesses. Puis soudain, elle éclate de rire et tape dans ses mains comme une enfant. Ma mère a six ans d’âge mental, bonsoir. « Oh oui tiens ! Je parie qu’Alexander ne le sait pas ça. » « Euh non… » Je jette un regard malicieux à Alex. « Prépare toi à être traumatisé. » Moi, en 13 ans de vie, j’ai eu le temps de l’entendre cette anecdote. A force, ça ne me fait plus rien. « C’était à Paris… » commence ma mère, « j’y étais pour mes études, j’avais18 ans. C’était un mois de mars, mon anniversaire. Donc je suis sortie en boîte de nuit. Autant te dire que j’étais assez éméchée. » Ma mère rigole tandis que je regarde le plafond. Alexander l’écoute avec attention. Il va vite regretter. « Puis vers… Mh, disons 5h du matin, je suis sortie et j’ai été au métro le plus proche. Et là, il y avait ce type. On a commencé à discuter en attendant que le premier métro arrive, l’endroit était désert. Il était plutôt beau garçon. Puis une chose en entraînant une autre… » « Non… » « Si si, j’ai été conçu dans une vieille rame de métro parisien qui sentait la pisse. » je lâche avec un petit rire. « Et après, on parle de Paris ville de l’amour ! » Ma mère bat des mains, heureuse. Je ne sais pas pourquoi, mais elle raffole de cette anecdote. Pourtant, elle n’est jamais restée avec mon père. Je ne le connais même pas ! Ils ont tirés leur coup dans ce métro vite fait, et tchao bambino. « Et en plus, il était drôlement bien monté, il m’a fait prendre un pied d’enfer, j’ai… » « Maman ! Je crois qu’Alex se fiche des détails. » j’interviens en voyant mon meilleur ami pâlir légèrement. Ma mère rit de nouveau –bon sang, une vraie hyène ! sauf que son rire à elle est joli, pas énervant- et pince les joues d’Alex. « Pauvre petit ! Je ne voulais pas te traumatiser ! » « Mais vous ne l’avez jamais revu, ce type ? » « Tu le vois quelque part toi ? Non je ne l’ai jamais revu. Quand on a eu fini notre petite affaire, il est parti. » « Mais il a bien dit quelque chose quand même ! » « Oui. Il a dit : ‘ si tu tombes enceinte, que tu décides de le garder et que c’est un garçon, appelle le Steven. Si c’est une fille, appelle la Swazit’, puis il est parti. » Je regarde Alexander et hausse les sourcils plusieurs fois d’affilés. Le pire, c’est que ma mère ne ment pas. J’ai été conçu de cette façon. J’étais même pas voulu en fait, mais quand ma mère a su qu’elle était enceinte « je n’ai pas pu me résoudre à avorter. Malgré moi, j’aimais déjà ce bébé. Alors je l’ai gardé, et neuf mois plus tard, le 24 décembre, Lou a pointé son nez. Je ne regrette rien tu sais. » Je lance un regard complice à ma mère. Ouais je n’ai jamais connu mon père mais dans le fond, ça ne m’a jamais manqué. C’est comme ça, point. Puis c’est toujours drôle de voir la tête des gens quand je leur raconte la rencontre de mes parents !
> Quand on a un meilleur ami, on a besoin de rien d'autre. « On est bientôt arrivés ? » « Non. » « Et là, on est bientôt arrivés ? » « … Non. » « Et maintenant, on est… ? » « Oui ! » « Oh, c’est vrai ? » « Nooooooooooon ! » Je croise les bras sur ma poitrine et râle. « Et cette fois… » « Loupiotte, tu me le demandes encore une fois, je t’arrache les tripes à mains nues. » « Quelle délicatesse. » « Tu m’énerves aussi ! » « T’as qu’à m’enlever ce fichu bandeau des yeux ! » Il ne répond pas, mais je devine qu’il est en train de faire son habituel sourire pourri en coin. Je déteste les surprise, et malheureusement pour moi, Alexander adore m’en faire. Encore plus aujourd’hui, que c’est mon anniversaire et que je viens de me faire plaquer comme une merde. C’est Noël, normalement on passe Noël en famille mais allez savoir, Alexander a faussé compagnie à la sienne et ma mère se fiche bien que je sois avec elle ou non, tant que je suis là demain. Du coup, quand mon enflure d’ex m’a plaqué hier, Alex m’a dit de réserver ma soirée du 24 décembre. A vrai dire, je n’ai pas eu le choix, il est arrivé chez moi tout à l’heure, m’a bandé les yeux et porté comme un sac à patate. Il me porte toujours là, d’ailleurs. Je bats la mesure sur son dos avec mes doigts, attendant patiemment qu’il se décide à me déposer. Ce n’est pas qu’il fait froid, mais il fait froid… « Aleeeeex ! On… » « Oui. » soupire t’il en me posant sur le sol. Hallelujah ! Je veux enlever le bandeau, mais il m’en empêche. « Attends un peu. T’es pire qu’une gosse ! » « J’aime pas les surprises. » « Celle là, tu vas l’aimer… » me murmure t’il à l’oreille avant de passer derrière moi et de me prendre les épaules pour me guider. Je frissonne légèrement, mais je sais que ça n’a rien à voir avec le froid. On s’arrête soudainement. « Je vais t’enlever le bandeau, mais tu n’ouvres les yeux que quand je le dis, d’accord ? » J’hoche la tête et ferme les yeux tandis qu’il retire le bout de tissu. « Va s’y. » J’ouvre alors les yeux tandis qu’il ouvre la porte de… D’une vieille grange ? Je fronce les sourcils, mais mon visage s’illumine soudainement quand je reconnais l’endroit et ce qu’il en a fait ! « Alexander… » je souffle doucement, surprise, et émue je dois l’avouer. La grange de notre enfance… On passait des journées entières à jouer là-dedans, dans cette vieille bicoque un peu éloignée de Jerrytown. Jusqu’au jour où elle est devenue trop insalubre pour qu’on puisse y retourner. Et là, devant mes yeux, elle est là, entièrement reconstruite, entièrement réaménagée. Il doit préparer ça depuis des mois ! Je mets une main devant ma bouche. « C’est.. Tu es… Oh bon sang ! » « Joyeux anniversaire, Loupiotte. Et joyeux Noël. » J’éclate de rire et saute au cou de mon meilleur ami. Il a entièrement refait notre endroit. Notre jardin secret, notre repaire. Il l’a nettoyé, y a installé des vieux canapés, tapis, coussins et même un lit. Une bibliothèque, un vieux poêle pour se chauffer l’hiver, une table de billard… Il a tout refait. Tout, absolument tout. Je me détache de lui et entre dans la grange, dont les lumières de Noël qu’Alexander a accroché un peu partout clignotent. J’ai 16 ans, et c’est indéniablement le plus bel anniversaire et le plus beau Noël de ma vie. Alexander rentre derrière moi et referme les portes. Il s’avance ensuite, me saisit par les hanches et me serre contre lui. « Je voulais te faire un cadeau exceptionnel… » « Ca l’est. » « C’est notre endroit celui-là, personne ne nous l’enlèvera. Si un jour tu te sens un peu trop triste et que je ne suis pas là pour te rassurer, viens ici, et c’est comme si nous serions ensemble. » Je souris doucement et me blotti dans ses bras. Est-ce que je vous ai dit que mon meilleur ami était parfait ?
> Je n'ai rien fait de totalement fou dans ma vie si ce n'est, peut-être, t'aimer. « C’est qui cette grognasse ?! » « Quelle grognasse ? Ah, la rousse avec Alexander ? » « Non, la sœur du Pape en string de guerre. A ton avis ?! » « Woh, calme toi, pourquoi tu t’énerves autant, tu… OH MON DIEU ! » « Quoi ? » « Lou-Swazik Neverson ! Tu es amoureuse de ton meilleur ami ! » Je détourne le regard, sentant mes joues devenir rouges. Je fixe le sol, me dandine d’un pied sur l’autre et joue avec un bout de mon tee-shirt. Je n’ose même pas nier. A quoi bon ? Shiloë me connaît, elle sait, alors pourquoi lui mentir ? Je préfère ne rien dire, m’enfonçant dans un silence révélateur. Shiloë passe un bras autour de mes épaules. « Depuis quand ? » « Depuis la grange… » « Attends, ça fait un an que tu lui caches tes sentiments ?! Lou, bordel. C’est ton meilleur ami, tu dois lui dire ! » « Haha, mais t’es une comique toi. T’as pensé à ce qui se passera s’il me rejette ? » « Il ne te rejettera pas. Va le voir. MAINTENANT ! » qu’elle crie en me poussant soudainement en direction d’Alexander et de sa pétasse. Je m’avance en me tordant les mains. Pourquoi j’écoute Shiloë, déjà ? Je fais demi-tour et elle me fusille du regard. Ah oui, je me souviens de pourquoi je l’écoute… Elle est effrayante quand elle fait ces yeux ! Je fais donc volte-face et marche d’un pas décidé vers mon meilleur ami. « Alexander ? » je l’interpelle d’une voix décidée. Il lève les yeux vers moi avec un petit sourire. « Oui ? » « Je euh… Tu… Enfin, il faut que je… » Merde, je bafouille. Il suffit qu’il me sourit, et moi, je perds mes mots. Je me racle la gorge. « Je dois te parler. » Ses sourcils se froncent, une expression inquiète se peint sur son visage. Il se lève, sans même dire un mot à l’autre rousse là et me prends par les épaules pour m’emmener à l’écart, derrière les bâtiments de l’école. Je sens mes mains trembler, et je dois être livide. C’est idiot, mais j’ai peur. Peur de tout briser entre nous. Je ne veux pas perdre mon meilleur ami… Pas lui. Je m’appuie contre le mur et il pose ses mains de part et d’autre de mon corps, me regardant. « Qu’est-ce qu’il y a ? Oh Lou, regarde moi ! Qu’est-ce qui ne va pas ? » « Je… Je ne sais pas comment dire ça. » « Quoi ? C’est ta mère, y’a un problème ? Lou, dis-moi, tu me fais peur. » J’inspire profondément. Allez Lou ! T’as 17 ans depuis peu, t’es plus un bébé. Je me mordille la lèvre inférieure. « Je suis amoureuse… » « Quoi ?! De qui ? Je le connais ? Dis-moi qui c’est ! J’espère qu’il est assez bien pour toi, sinon je lui pète la gueule. T’façon, t’as pas le droit de te mettre avec lui si sa tête ne me revient pas, je te préviens. » « Alexander, de tous les mecs avec qui je suis sortie, t’en a jamais supporté aucun ! » « C’est parce que t’es trop bien pour eux. Alors, c’est qui ce con ? » « Behtuvoisfigurestoiquececonc’esttoienfait ! » je lâche très vite et d’une toute petite voix. Alexander me lance un regard effaré. « Okey, je sais que j’ai un diplôme en langage Lou-Swazik, mais là c’est trop compliqué, même pour le génie que je suis. » « Beh tu vois figures-toi que ce con c’est toi en fait ! » je répète d’une voix claire en plongeant mon regard dans le sien. « Je m’en suis rendue compte le soir de mes 16 ans, quand tu m’as offert la grange entièrement rénovée. Mais j’ai jamais osé te le dire parce que j’ai peur que ça casse notre amitié. Et je sais que tu ressens pas la même chose hein, d’ailleurs on va faire comme si je n’avais rien dit, tu oublies tout et ça… » Il pose ses lèvres sur les miennes, me coupant dans ma tirade. Je reste un instant éberluée tandis qu’il se colle contre moi, sa langue venant jouer avec la mienne. Je m’attendais à tout sauf à ça… Néanmoins, je m’accroche à lui, agrippant sa nuque comme si ma vie en dépendait, prolongeant son baiser, encore et encore. « Non, je n’oublie rien. Rien… » souffle t’il avant de capturer de nouveau mes lèvres.
Je sens des mains se poser sur mes yeux. « Qui c’est ? » « Alexander… » « T’es pas drôle ! » Je ris légèrement tandis qu’il s’assoit à côté de moi, déposant un baiser sur mes lèvres. Il me regarde quelque secondes puis me tends soudain une petite boîte. « Joyeux anniversaire ! » « On avait dit pas de cadeau ! » « Bah. Deux ans qu’on est ensemble, ça se fête, non ? » « Ouais, mais sans cadeau on avait dit et… Oh bon sang Alex, ce sont des… » « Clefs d’appartement, oui. » Je lève vers lui des yeux surpris. Je ne sais plus quoi dire, comme toujours. Il a cette fichue manie de m’émouvoir au point de me faire perdre tout mes mots. Il me sourit et saisi mes mains entre les siennes, plantant son regard dans le mien. « Je sais que ça ne fait que deux ans et qu’on est jeunes, Lou mais… On se connaît depuis toujours. Et je sais. Je sais que c’est toi, la femme de ma vie. J’ai pas besoin d’attendre, pas besoin de grandir. On a beau avoir seulement 19 ans, je suis sûr de moi. Je t’aime Lou-Swazik. Alors… Tu acceptes d’emménager avec moi ? » Je le contemple en silence, les yeux brillants de larmes. Je n’en espérais pas tant ! Je me mords la lèvre et sourit légèrement. « Comme si j’allais dire non ! Bien sûr. Bien sûr que j’accepte, idiot ! » je rit en pleurant à moitié de joie, l’embrassant tendrement. « Je t’aime aussi, Alex… » « Pour toujours. »
> Faudrait apprendre aux gens qui disent "Je t'aime pour toujours", que pour toujours n'a pas de fin. « Salut poulette. » « Au revoir, abruti. » je lâche en me levant et en m’éloignant. Un vrai pot de glue, celui-là ! Il peut pas me lâcher, non ? Je sursaute soudainement. Voilà qu’il vient de surgir devant moi. « Putain ! Oliver, t’es casse-couilles. Qu’est-ce que tu ne comprends pas dans : dégage de ma vue, espèce de boulet ? » « Oh allez, fais pas ta prude, je sais que t’es folle de moi. » Je plisse le nez avec dégoût. « Ecoute, t’es gentil, mais je suis avec mon copain depuis trois ans maintenant, alors lâche-moi. » « Je sais que t’es avec ton mec, tu me le répètes sans cesse. » « Okey, donc si tu insistes encore, c’est que t’es con ? » J’hausse les sourcils et le contourne. Ce mec me fait chier puissance mille. Et malheureusement pour moi, je dois me le farcir parce qu’on suit les mêmes cours de vente. Je ne sais pas pourquoi il s’obstine comme ça, je suis pourtant assez claire quand je lui dis que je ne quitterais pas Alexander ! Je lâche un soupir et commence à m’éloigner jusqu’à ce qu’il m’attrape par le bras. « Oh bon sang, je vais te… » WTF ? Il… Il m’embrasse là ?! J’ouvre de grands yeux et ne réagit pas immédiatement, trop surprise. Mais je le repousse finalement et ma main s’abat sur sa joue avec violence. « Ne recommence jamais ça ou je t’émascule en public, espèce de sale petit con ! » je fulmine avant de m’éloigner d’un pas pressant. Il est 12h, je suis en retard pour mon travail !
19h. Je pousse la porte de notre appartement, à Alexander et moi. « Alex ? C’est moi. » Aucune réponse. Bizarre, il est pourtant rentré à cette heure. Je m’avance jusque dans le salon. Bon, il a décidé de jouer à cache-cache ou quoi ?! Pas le jour de nos trois ans, quand même ! Je soupire, mi-agacée, mi-amusée et me dirige dans la chambre. Je m’arrête sur le seuil, consciente que quelque chose ne va pas. Il y a un truc qui cloche… Ah ! Je sais. Les affaires d’Alexander ne traînent plus par terre ! Il les a rangé ? Soit. Je me dirige vers l’armoire pour me changer mais me fige une fois celle-ci ouverte. Vide. Les affaires d’Alex ont disparu. C’est quoi cette connerie, encore ?! J’entends la porte s’ouvrir et me précipite dans le salon. « Alex, tu… » Je m’interromps. Ce n’est pas lui, mais un de ses amis. « Nathan ? Qu’est-ce que tu fais là ? » « Oh je… » Il se dandine d’un pied sur l’autre, visiblement mal à l’aise. « Je viens récupérer les affaires d’Alexander. » « Que… Quoi ? Mais il est où ? » Nathan récupère un carton qui traînait dans l’entrée et que je n’ai pas remarqué, puis se dirige vers la sortie. Au dernier moment, il se retourne. « C’est fini, Lou. Il m’a chargé de te le dire, toi et lui, c’est terminé. » lâche t’il avant de sortir. Je n’entends même pas la porte se refermer que je tombe à genoux sur le sol, secouée par les sanglots. Je n'ai même pas la force de courir après Nathan pour demander des explications. Il m’a quitté. Sans raison. Il m’avait dit pour toujours et il s’est barré, comme un con, comme un lâche, en m’envoyant un de ses connards d’ami pour rompre à sa place. J’ai mal. Comme un voleur, il est parti sans moi…
Un mois qu’Alexander est parti. Je ne sors plus de chez moi, je ne mange quasiment plus. Je reste couchée toute la journée, je pleure, je m’énerve, je pleure encore, je m’énerve de nouveau. Parfois je le traite d’enfoiré, de connard, de putain de gros con… Et d’autres fois, je supplie pour qu’il revienne. J’ai mal comme je n’ai jamais eu mal. Je ne pensais pas que ça ferait cet effet… La sensation d’avoir le cœur arraché à la petite cuillère. Comme si quelqu’un avait fait sortir mes intestins par ma bouche avant de m’étrangler avec. « Debout ! » Quelqu’un tire la couette. Je pousse un grognement et me roule en boule mais je sens quelqu’un me tirer. J’ouvre les yeux. « Maman ? » « Shiloë m’a appelé. Pourquoi tu ne m’as rien dit, Lou ? Je suis ta mère ! Tu aurais quand même pu me dire qu’Alexander était parti… » Je la regarde et éclate soudain en sanglots. Elle me prends dans ses bras et je me blotti contre elle, pleurant toutes les larmes de mon corps. « J’ai mal, maman… » « Je sais, ma chérie. Je sais. Pleure. Je suis là maintenant, je suis là… » murmure t’elle doucement en me berçant tendrement. « Il a changé de numéro… Il a totalement disparu et je ne sais même pas pourquoi… » je gémis lamentablement. Ma mère m’embrasse sur le front et me regarde. « Tu vas t’en sortir, ma chérie. D’accord ? » « Non. Non parce que… Maman… » Mes sanglots redoublent tandis que je suis sur le point de lui apprendre la terrible nouvelle. Je le sais depuis une semaine… Et je réfute cette idée, je ne peux pas l’accepter. « Je suis enceinte, maman… » je lâche soudainement en m’effondrant de nouveau. Ma mère se fige quelques secondes puis me regarde. « Lou. Lou calmes-toi ! Depuis combien de temps ? » « Le médecin a dit environ trois mois déjà… » « Ma chérie. Arrête de pleurer. Tu veux… » « Non ! Je ne veux pas le tuer. C’est mon bébé, c’est Alexander et moi, on… » Je m’interromps à cause de mes sanglots. J’ai l’impression d’avoir un trou béant à la place de la poitrine. Ma gorge me brûle, mon ventre est noué. Je reprends difficilement : « Je veux le garder mais… Mais pas l’élever. Pas sans lui… Je ne peux pas… Mais je ne veux pas abandonner ce bébé non plus… » Ma mère me force à m’asseoir et passe son bras autour de moi. « Ecoute, voilà ce qu’on va faire ma chérie… Tu vas garder ce bébé, et je l’élèverais. Après tout, je n’ai que 38 ans. Je m’occuperais de ton bébé, comme ça, tu pourras le voir autant que tu le souhaites. Ca va aller ma puce. Tout ira bien, n’aie pas peur. Ca va aller. »
> t'as cru que la vie c'était un kiwi ? m'en fout, je suis heureuse ! « Maman !? » j’hurle tout en poussant la porte de la maison familiale. « Eléa ? » J’entends un rire d’enfant et je souris, me dirigeant vers le salon. Eléa court vers moi, de sa démarche maladroite. Je me baisse et la réceptionne, déposant un baiser sur son front. « Eh ma princesse. » « Maman ! » « Oui c’est moi ma princesse. Où est mamie, mon ange ? » Eléa gazouille puis me désigne la cuisine de la main. Je la prends dans mes bras et me dirige vers la cuisine, pour y trouver ma mère en train de préparer le repas du soir. Je dépose un baiser sur le front d’Eléa. Elle ne vit pas avec moi au quotidien, mais je passe la voir environ cinq fois par semaine. Parce que c’est malgré tout ma fille, et que je l’aime. Seulement, je ne suis pas assez forte pour l’élever seule. Alors c’est ma mère qui s’en occupe. Tenant Eléa, je dépose un baiser sur le front de ma mère qui se tourne vers moi avec un regard grave. Je perds mon sourire. Elle sait, elle aussi. Je n’ai donc pas rêvé. Je me mords les lèvres. « Toi aussi, tu l’as vu ? » « Il est venu au café où je travaille. Il ne m’a pas vu puisque j’étais en cuisine, mais moi je l’ai reconnu. Il est là, Lou. Quelque part dehors. » Je détourne le regard, recoiffant doucement Eléa. « Je m’en fiche. Il m’a abandonné, je ne veux plus le voir. » « Chérie, tu oublies Eléa. » « Il ne sait même pas qu’elle existe… » je souffle le cœur serré. Je n’ai jamais réussi à LE contacter pour lui dire que j’étais enceinte. Il est demeuré introuvable, malgré tous mes efforts. Et aujourd’hui, voilà que je le vois en ville ? Il ne m’a pas vu, mais moi si. Je l’aurais reconnu entre mille. Alexander. Il était devant notre ancien immeuble. Me cherchait-il ? Je ne sais pas. En tout cas, j’ai attendu qu’il s’en aille avant de rentrer chez moi. Je ne voulais pas le croiser. Je ne veux plus jamais le voir. Jamais. Je regarde ma fille et murmure : « Je me fiche d’Alexander, maman. Je suis heureuse sans lui. Je te promets. » Eléa lève ses grands yeux vers moi et gazouille, enfouissant son visage dans mon cou. Je souris. Oui, je suis heureuse.
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Dernière édition par Lou-Swazik Neverson le Sam 7 Avr - 21:56, édité 11 fois |
| | | V. Dorryan MaxwellAdmin
→ MOOD. : j'aime la sauce tomate. Puis je suis heureux. J'suis toujours heureux, oooh une licorne rose à pois bleus ! Attends petite licorne, atteeeends !
→ NOMBRE DE BLABLAS : : 594
→ A PRIS GOÛT A LA VIE LE : : 11/03/2012
→ LOCALISATION : Derrière toi. Fais Gaffe je suis armé.
| Sujet: Re: Lou-Swazik • « - T’es tombée ? – Non, je fais la bise au sol, idiot. » (FINITE INCANTATEM *out*) Sam 7 Avr - 16:57 | |
| c'est mon ultime bafouille je t'aime de plus en plus Bonne chance pour ta fiche ! |
| | | Sid MassachussetteAdmin
→ MOOD. : comme un âne !
→ NOMBRE DE BLABLAS : : 446
→ A PRIS GOÛT A LA VIE LE : : 18/03/2012
→ LOCALISATION : Jerrytown babay !
| Sujet: Re: Lou-Swazik • « - T’es tombée ? – Non, je fais la bise au sol, idiot. » (FINITE INCANTATEM *out*) Sam 7 Avr - 17:00 | |
| TON TITRE jerry ! Et puis Kristin est jerkmldfhsvnoerjdfhbgviudfh:bgvmojegkr:dfhvnùlojmdfnhbvjlfdnhkbgvdflhvnodfkhnkgvlds pourquoi je suis gay moi déjà ? BIENVENUE BELLE NANA |
| | | V. Dorryan MaxwellAdmin
→ MOOD. : j'aime la sauce tomate. Puis je suis heureux. J'suis toujours heureux, oooh une licorne rose à pois bleus ! Attends petite licorne, atteeeends !
→ NOMBRE DE BLABLAS : : 594
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→ LOCALISATION : Derrière toi. Fais Gaffe je suis armé.
| Sujet: Re: Lou-Swazik • « - T’es tombée ? – Non, je fais la bise au sol, idiot. » (FINITE INCANTATEM *out*) Sam 7 Avr - 17:01 | |
| t'es pas gay t'es Dorryansexuel |
| | | Sid MassachussetteAdmin
→ MOOD. : comme un âne !
→ NOMBRE DE BLABLAS : : 446
→ A PRIS GOÛT A LA VIE LE : : 18/03/2012
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| Sujet: Re: Lou-Swazik • « - T’es tombée ? – Non, je fais la bise au sol, idiot. » (FINITE INCANTATEM *out*) Sam 7 Avr - 17:05 | |
| Ah oui, la nuance qui change tout |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Lou-Swazik • « - T’es tombée ? – Non, je fais la bise au sol, idiot. » (FINITE INCANTATEM *out*) Sam 7 Avr - 17:09 | |
| on se connait toi et moi T'es belle en Kristin. Qui qui avait raison hein ? (aa) |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Lou-Swazik • « - T’es tombée ? – Non, je fais la bise au sol, idiot. » (FINITE INCANTATEM *out*) Sam 7 Avr - 17:12 | |
| VDM j'aime déjà tes initiales ah mais aime moi ! je suis tellement merveilleuse et... ouais bon d'accord, je me lance des fleurs là. Non mais moi je t'aime donc aime moi en retour Merci ! Sid j'peux t'appeler Prince des Flammes ? en plus d'être merveilleuse, je suis hilarante ! et modeste, sisi !. Beh en fait, j'aime pas Kristin mais un certain petit poisson m'a convaincu de la jouer parce qu'elle colle à mon personnage MERCI ! Nemo on s'connaît ? T'es qui ? ... NAA ! JE T'AIME ça vaaa, tu avais raison, t'es toujours de bons conseils ! Et Mathéo a cédé ! |
| | | Jewel-Bird WargraveAdmin
→ MOOD. : Bizarre. Jerry, c'était quoi les pilules vertes que tu m'as refilé ?
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→ LOCALISATION : Je suis à JerryTown.
| Sujet: Re: Lou-Swazik • « - T’es tombée ? – Non, je fais la bise au sol, idiot. » (FINITE INCANTATEM *out*) Sam 7 Avr - 17:17 | |
| - Sid Massachussette a écrit:
- TON TITRE jerry !
Et puis Kristin est jerkmldfhsvnoerjdfhbgviudfh:bgvmojegkr:dfhvnùlojmdfnhbvjlfdnhkbgvdflhvnodfkhnkgvlds pourquoi je suis gay moi déjà ? BIENVENUE BELLE NANA Wouuuuaaah tu as trop bien résumé mon Sid choupinouninou ! Bienvenue belle demoiselle ! Bon courage pour ta fichounette ! |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Lou-Swazik • « - T’es tombée ? – Non, je fais la bise au sol, idiot. » (FINITE INCANTATEM *out*) Sam 7 Avr - 17:21 | |
| Jewel comment j'aimeeee ton pseudo merci ma fichounette devrait aller vite, j'ai déjà toutes mes idées |
| | | Jewel-Bird WargraveAdmin
→ MOOD. : Bizarre. Jerry, c'était quoi les pilules vertes que tu m'as refilé ?
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| Sujet: Re: Lou-Swazik • « - T’es tombée ? – Non, je fais la bise au sol, idiot. » (FINITE INCANTATEM *out*) Sam 7 Avr - 17:24 | |
| Merci, moi aussi j'adore ton pseudo C'est génial alors ! |
| | | InvitéInvité
| | | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Lou-Swazik • « - T’es tombée ? – Non, je fais la bise au sol, idiot. » (FINITE INCANTATEM *out*) Sam 7 Avr - 17:42 | |
| Jewel merci mais j'ai aucun mérite, c'est quelqu'un qui m'a soufflé le pseudo sauf le nom de famille, parce que c'est celui que je prends toujours. Nemo sois ma conscience, petit poisson orange ouais j'ai mes armes secrètes pour Mathéo et j'aime pas Dougie, mais t'aimes pas Kristin donc on est quitte... J'vais te faire aimer Kristin, tu vas me faire aimer Dougie |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Lou-Swazik • « - T’es tombée ? – Non, je fais la bise au sol, idiot. » (FINITE INCANTATEM *out*) Sam 7 Avr - 18:09 | |
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| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Lou-Swazik • « - T’es tombée ? – Non, je fais la bise au sol, idiot. » (FINITE INCANTATEM *out*) Sam 7 Avr - 18:14 | |
| Je sais que tu gères la fougère ! Owi, Bao et je toucherais pas à ton twin, j'ai mon Mathéo/Alexander qui va arriver ! CHALLENGE ACCEPTED Ouais elle est bien les cheveux courts, mais pour l'instant, elle aura les cheveux longs j'vais te la faire aimer les cheveux longs |
| | | InvitéInvité
| | | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Lou-Swazik • « - T’es tombée ? – Non, je fais la bise au sol, idiot. » (FINITE INCANTATEM *out*) Sam 7 Avr - 20:09 | |
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| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Lou-Swazik • « - T’es tombée ? – Non, je fais la bise au sol, idiot. » (FINITE INCANTATEM *out*) Sam 7 Avr - 20:14 | |
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| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Lou-Swazik • « - T’es tombée ? – Non, je fais la bise au sol, idiot. » (FINITE INCANTATEM *out*) Sam 7 Avr - 20:20 | |
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| | | V. Dorryan MaxwellAdmin
→ MOOD. : j'aime la sauce tomate. Puis je suis heureux. J'suis toujours heureux, oooh une licorne rose à pois bleus ! Attends petite licorne, atteeeends !
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| Sujet: Re: Lou-Swazik • « - T’es tombée ? – Non, je fais la bise au sol, idiot. » (FINITE INCANTATEM *out*) Sam 7 Avr - 22:01 | |
| aque tu es validéééééééééée |
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| Sujet: Re: Lou-Swazik • « - T’es tombée ? – Non, je fais la bise au sol, idiot. » (FINITE INCANTATEM *out*) | |
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| | | | Lou-Swazik • « - T’es tombée ? – Non, je fais la bise au sol, idiot. » (FINITE INCANTATEM *out*) | |
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