(m) jensenACKLES • now you're just somebody that i used to know...
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Sujet: (m) jensenACKLES • now you're just somebody that i used to know... Dim 8 Avr - 16:24
Alexander Prénom Nom.★
nom : le nom et le second prénom sont totalement libre. Alexander n'est pas négociable, déjà parce que je le reprend dans ma présentation tout le temps, puis qu'Alexander et Lou, ça roxe. Puis ça va bien à Jensen d'ailleurs, Jensen n'est pas négociable, parce que Jensen/Kristin quoi ● âge : 23 ans. ● date et lieu de naissance : au choix, mais personnellement, je l'imagine bien vivre ici depuis toujours. C'est un enfant de la ville, il est né ici. ● nationalité : américaine donc. ●origines : vous pouvez lui donner les origines que vous voulez, italien, français, russe, papouasien,... ● orientation : hétérosexuel et Lou-Swazikophile ! ● statut : il est fiancé mais pas amoureux de sa compagne. ● occupation : au choix. ● groupe : Ramon Tafraise ou bien Mangue Debol, à la limite mais bon... Plus Ramon Tafraise.
ϟ Meet Tom.
HEY HEY TOI ! T'as invité quelqu'un à ce que je vois ? Il est bizarre ton poto, foi de Tom, j'vais me le faire celui là ! Il est là depuis longtemps, il est nouveau ? « Déjà c'est pas mon pote. Enfin, il ne l'est plus depuis trois ans... Et me dis pas que tu le reconnais pas ? Il est né ici, t'as dût le voir courir en couche-culotte dans les rues de Jerrytown ! Et généralement, j'étais avec lui. », ah, je vois, donc il craint du boudin quoi. Il a une meilleure tête que toi, remarque, ça fait déjà un bon point ! C'ets quoi la plus grosse connerie de sa vie, dis moi dis moi ? « m'avoir abandonné comme une merde en disparaissant totalement, sans donner d'explications et en changeant de numéro ? ». Sérieux ? OUAAAH. C’est que j'aurais presque du respect là ! J'ai bien dit presque, hein. A côté de moi et Jerry, surtout à côté de moi, c’est qu'un caca tout mou ! D'ailleurs, il est déjà venu à une de nos petites fêtes, ce zigoto ? « Sûrement oui, quand on était jeune, on participait souvent à vos "petites fêtes" lui et moi ! », Ben la prochaine fois, il sera invité. OU PAS HAHA. Non mais faut bien commencer quelque part hein, il finira peut être par avoir mon attention... Sinon, c'est quoi son plus gros défaut ? A voir se tête, j'en aurais pas mal qui me viennent, mais c'est toi qui vois. « Outre le fait que c'est un enfoiré qui m'a abandonné ? Mh. Bref, à part ça, Alexander est un boulet. Ah si si ! Mais un gentil boulet, disons qu'il est un peu naïf et qu'il s'y prend toujours de travers quand il veut arranger quelque chose. Il a beaucoup d'humour, mais un humour de merde. Quoi qu'il a toujours su me faire rire. »,ah quand même, c'est pas de la gnognotte ! C'est vrai que bon, moi je suis parfait, alors le moindre défaut je peux pas comprendre tu vois, c'est de nature chez moi, j'ai que des qualités ? D'ailleurs, la plus grande qualité de ton camarade c’est quoi ? « Il est gentil. Vraiment. Réellement. C'est pour ça que je n'ai pas compris pourquoi il m'a quitté comme ça... Alexander, c'est quelqu'un de droit et de loyal. », tu veux pas lui lécher les pieds aussi ? Et un petit bain de boue pendant que t'y es ? Pourtant il a aucune particularité, rien qui le distingue des autres hein, faut pas abuser ? Hein, tu me dis que si ? Et il a quoi de si géniaaal ? « Il est papa d'une petite fille, MA fille, sauf qu'il ne le sait pas encore. », mouais, peut être, faudrait que je demande à Jerry de lui faire subir un interrogatoire en règle, il est super fort pour faire dire la vérité ! D'ailleurs, il devrait déjà être là, ce foutu rongeur ! Tu l'aimes bien, toi ? Tu penses que je devrais faire quoi vis-à-vis de lui ? Le bouffer ou en faire mon pote ? Perso j'suis pas sûr qu'il ai bon goût, j'aime pas le camembert. « arrêtes un peu avec ton Jerry, s'il est pas là, c'est qu'il veut pas te voir ! Puis tu serais rien sans Jerry alors t'oserais pas le bouffer. », pff, t'façon c’est pas toi qui décide, ni ton pote qui a même pas parlé depuis tout à l'heure. je l'intimide c’est ça ? Ben tant pi s pour lui, parce que Tom est toujours là pour guetter ! Il a intérêt à se tenir à carreau, c'est moi qui te le dis !
ϟ story.
L'histoire d'Alexander est libre dans l'ensemble, mis à part les quelques points ci-dessous:
• Alexander et Lou se connaissent depuis qu'ils ont trois ans, depuis toujours quoi. Ils ont toujours été les meilleurs amis du monde et même plus que ça. A 17 ans, ils ont pris conscience qu'ils s'aimaient et se sont mis ensemble. A 19 ans, Alex a proposé à Lou d’emménager avec lui parce que, malgré leur jeune âge, il a toujours été persuadé qu'elle est la femme de sa vie.
• Et tout a dérapé à 20 ans, le jour de leur trois ans de relation. Alexander voulait passer voir Lou à la sortie d'un des cours de la jeune femme et en arrivant, ce qu'il a vu l'a cloué sur place. Sa belle en embrassait un autre. Alexander n'a pas cherché à savoir le pourquoi du comment. Il a fait demi-tour, et sans réfléchir, il a pris toutes ses affaires et est parti, chargeant un de ses amis de récupérer ses dernières affaires et de prévenir Lou que tout était fini. Il a disparu, changé de numéro et n'a donné aucune explication à la jeune femme. Ce qu'il ne sait pas, c'est que Lou n'a jamais embrassé cet autre garçon de son plein gré, elle a été prise par surprise et l'a repoussé juste après. Ce qu'il ne sait pas non plus, c'est qu'environ un mois après son départ, Lou a appris qu'elle était enceinte...
• Aujourd'hui, il revient à Jerrytown, parce qu'il est persuadé que Lou n'y est plus. A vous de voir où il était ces trois dernières années. Et bien sûr, il est fiancé à une autre.
Le reste est totalement libre
ϟ we are free.
La vidéo ci-dessous parce que je trouve qu'elle résume bien le lien qui unit Alexander et Lou
'ce qu'il y a dans ma fiche':
à 16 ans. « On est bientôt arrivés ? » « Non. » « Et là, on est bientôt arrivés ? » « … Non. » « Et maintenant, on est… ? » « Oui ! » « Oh, c’est vrai ? » « Nooooooooooon ! » Je croise les bras sur ma poitrine et râle. « Et cette fois… » « Loupiotte, tu me le demandes encore une fois, je t’arrache les tripes à mains nues. » « Quelle délicatesse. » « Tu m’énerves aussi ! » « T’as qu’à m’enlever ce fichu bandeau des yeux ! » Il ne répond pas, mais je devine qu’il est en train de faire son habituel sourire pourri en coin. Je déteste les surprise, et malheureusement pour moi, Alexander adore m’en faire. Encore plus aujourd’hui, que c’est mon anniversaire et que je viens de me faire plaquer comme une merde. C’est Noël, normalement on passe Noël en famille mais allez savoir, Alexander a faussé compagnie à la sienne et ma mère se fiche bien que je sois avec elle ou non, tant que je suis là demain. Du coup, quand mon enflure d’ex m’a plaqué hier, Alex m’a dit de réserver ma soirée du 24 décembre. A vrai dire, je n’ai pas eu le choix, il est arrivé chez moi tout à l’heure, m’a bandé les yeux et porté comme un sac à patate. Il me porte toujours là, d’ailleurs. Je bats la mesure sur son dos avec mes doigts, attendant patiemment qu’il se décide à me déposer. Ce n’est pas qu’il fait froid, mais il fait froid… « Aleeeeex ! On… » « Oui. » soupire t’il en me posant sur le sol. Hallelujah ! Je veux enlever le bandeau, mais il m’en empêche. « Attends un peu. T’es pire qu’une gosse ! » « J’aime pas les surprises. » « Celle là, tu vas l’aimer… » me murmure t’il à l’oreille avant de passer derrière moi et de me prendre les épaules pour me guider. Je frissonne légèrement, mais je sais que ça n’a rien à voir avec le froid. On s’arrête soudainement. « Je vais t’enlever le bandeau, mais tu n’ouvres les yeux que quand je le dis, d’accord ? » J’hoche la tête et ferme les yeux tandis qu’il retire le bout de tissu. « Va s’y. » J’ouvre alors les yeux tandis qu’il ouvre la porte de… D’une vieille grange ? Je fronce les sourcils, mais mon visage s’illumine soudainement quand je reconnais l’endroit et ce qu’il en a fait ! « Alexander… » je souffle doucement, surprise, et émue je dois l’avouer. La grange de notre enfance… On passait des journées entières à jouer là-dedans, dans cette vieille bicoque un peu éloignée de Jerrytown. Jusqu’au jour où elle est devenue trop insalubre pour qu’on puisse y retourner. Et là, devant mes yeux, elle est là, entièrement reconstruite, entièrement réaménagée. Il doit préparer ça depuis des mois ! Je mets une main devant ma bouche. « C’est.. Tu es… Oh bon sang ! » « Joyeux anniversaire, Loupiotte. Et joyeux Noël. » J’éclate de rire et saute au cou de mon meilleur ami. Il a entièrement refait notre endroit. Notre jardin secret, notre repaire. Il l’a nettoyé, y a installé des vieux canapés, tapis, coussins et même un lit. Une bibliothèque, un vieux poêle pour se chauffer l’hiver, une table de billard… Il a tout refait. Tout, absolument tout. Je me détache de lui et entre dans la grange, dont les lumières de Noël qu’Alexander a accroché un peu partout clignotent. J’ai 16 ans, et c’est indéniablement le plus bel anniversaire et le plus beau Noël de ma vie. Alexander rentre derrière moi et referme les portes. Il s’avance ensuite, me saisit par les hanches et me serre contre lui. « Je voulais te faire un cadeau exceptionnel… » « Ca l’est. » « C’est notre endroit celui-là, personne ne nous l’enlèvera. Si un jour tu te sens un peu trop triste et que je ne suis pas là pour te rassurer, viens ici, et c’est comme si nous serions ensemble. » Je souris doucement et me blotti dans ses bras. Est-ce que je vous ai dit que mon meilleur ami était parfait ?
à 17 ans. « C’est qui cette grognasse ?! » « Quelle grognasse ? Ah, la rousse avec Alexander ? » « Non, la sœur du Pape en string de guerre. A ton avis ?! » « Woh, calme toi, pourquoi tu t’énerves autant, tu… OH MON DIEU ! » « Quoi ? » « Lou-Swazik Neverson ! Tu es amoureuse de ton meilleur ami ! » Je détourne le regard, sentant mes joues devenir rouges. Je fixe le sol, me dandine d’un pied sur l’autre et joue avec un bout de mon tee-shirt. Je n’ose même pas nier. A quoi bon ? Shiloë me connaît, elle sait, alors pourquoi lui mentir ? Je préfère ne rien dire, m’enfonçant dans un silence révélateur. Shiloë passe un bras autour de mes épaules. « Depuis quand ? » « Depuis la grange… » « Attends, ça fait un an que tu lui caches tes sentiments ?! Lou, bordel. C’est ton meilleur ami, tu dois lui dire ! » « Haha, mais t’es une comique toi. T’as pensé à ce qui se passera s’il me rejette ? » « Il ne te rejettera pas. Va le voir. MAINTENANT ! » qu’elle crie en me poussant soudainement en direction d’Alexander et de sa pétasse. Je m’avance en me tordant les mains. Pourquoi j’écoute Shiloë, déjà ? Je fais demi-tour et elle me fusille du regard. Ah oui, je me souviens de pourquoi je l’écoute… Elle est effrayante quand elle fait ces yeux ! Je fais donc volte-face et marche d’un pas décidé vers mon meilleur ami. « Alexander ? » je l’interpelle d’une voix décidée. Il lève les yeux vers moi avec un petit sourire. « Oui ? » « Je euh… Tu… Enfin, il faut que je… » Merde, je bafouille. Il suffit qu’il me sourit, et moi, je perds mes mots. Je me racle la gorge. « Je dois te parler. » Ses sourcils se froncent, une expression inquiète se peint sur son visage. Il se lève, sans même dire un mot à l’autre rousse là et me prends par les épaules pour m’emmener à l’écart, derrière les bâtiments de l’école. Je sens mes mains trembler, et je dois être livide. C’est idiot, mais j’ai peur. Peur de tout briser entre nous. Je ne veux pas perdre mon meilleur ami… Pas lui. Je m’appuie contre le mur et il pose ses mains de part et d’autre de mon corps, me regardant. « Qu’est-ce qu’il y a ? Oh Lou, regarde moi ! Qu’est-ce qui ne va pas ? » « Je… Je ne sais pas comment dire ça. » « Quoi ? C’est ta mère, y’a un problème ? Lou, dis-moi, tu me fais peur. » J’inspire profondément. Allez Lou ! T’as 17 ans depuis peu, t’es plus un bébé. Je me mordille la lèvre inférieure. « Je suis amoureuse… » « Quoi ?! De qui ? Je le connais ? Dis-moi qui c’est ! J’espère qu’il est assez bien pour toi, sinon je lui pète la gueule. T’façon, t’as pas le droit de te mettre avec lui si sa tête ne me revient pas, je te préviens. » « Alexander, de tous les mecs avec qui je suis sortie, t’en a jamais supporté aucun ! » « C’est parce que t’es trop bien pour eux. Alors, c’est qui ce con ? » « Behtuvoisfigurestoiquececonc’esttoienfait ! » je lâche très vite et d’une toute petite voix. Alexander me lance un regard effaré. « Okey, je sais que j’ai un diplôme en langage Lou-Swazik, mais là c’est trop compliqué, même pour le génie que je suis. » « Beh tu vois figures-toi que ce con c’est toi en fait ! » je répète d’une voix claire en plongeant mon regard dans le sien. « Je m’en suis rendue compte le soir de mes 16 ans, quand tu m’as offert la grange entièrement rénovée. Mais j’ai jamais osé te le dire parce que j’ai peur que ça casse notre amitié. Et je sais que tu ressens pas la même chose hein, d’ailleurs on va faire comme si je n’avais rien dit, tu oublies tout et ça… » Il pose ses lèvres sur les miennes, me coupant dans ma tirade. Je reste un instant éberluée tandis qu’il se colle contre moi, sa langue venant jouer avec la mienne. Je m’attendais à tout sauf à ça… Néanmoins, je m’accroche à lui, agrippant sa nuque comme si ma vie en dépendait, prolongeant son baiser, encore et encore. « Non, je n’oublie rien. Rien… » souffle t’il avant de capturer de nouveau mes lèvres.
à 19 ans. Je sens des mains se poser sur mes yeux. « Qui c’est ? » « Alexander… » « T’es pas drôle ! » Je ris légèrement tandis qu’il s’assoit à côté de moi, déposant un baiser sur mes lèvres. Il me regarde quelque secondes puis me tends soudain une petite boîte. « Joyeux anniversaire ! » « On avait dit pas de cadeau ! » « Bah. Deux ans qu’on est ensemble, ça se fête, non ? » « Ouais, mais sans cadeau on avait dit et… Oh bon sang Alex, ce sont des… » « Clefs d’appartement, oui. » Je lève vers lui des yeux surpris. Je ne sais plus quoi dire, comme toujours. Il a cette fichue manie de m’émouvoir au point de me faire perdre tout mes mots. Il me sourit et saisi mes mains entre les siennes, plantant son regard dans le mien. « Je sais que ça ne fait que deux ans et qu’on est jeunes, Lou mais… On se connaît depuis toujours. Et je sais. Je sais que c’est toi, la femme de ma vie. J’ai pas besoin d’attendre, pas besoin de grandir. On a beau avoir seulement 19 ans, je suis sûr de moi. Je t’aime Lou-Swazik. Alors… Tu acceptes d’emménager avec moi ? » Je le contemple en silence, les yeux brillants de larmes. Je n’en espérais pas tant ! Je me mords la lèvre et sourit légèrement. « Comme si j’allais dire non ! Bien sûr. Bien sûr que j’accepte, idiot ! » je rit en pleurant à moitié de joie, l’embrassant tendrement. « Je t’aime aussi, Alex… » « Pour toujours. »
à 20 ans. « Salut poulette. » « Au revoir, abruti. » je lâche en me levant et en m’éloignant. Un vrai pot de glue, celui-là ! Il peut pas me lâcher, non ? Je sursaute soudainement. Voilà qu’il vient de surgir devant moi. « Putain ! Oliver, t’es casse-couilles. Qu’est-ce que tu ne comprends pas dans : dégage de ma vue, espèce de boulet ? » « Oh allez, fais pas ta prude, je sais que t’es folle de moi. » Je plisse le nez avec dégoût. « Ecoute, t’es gentil, mais je suis avec mon copain depuis trois ans maintenant, alors lâche-moi. » « Je sais que t’es avec ton mec, tu me le répètes sans cesse. » « Okey, donc si tu insistes encore, c’est que t’es con ? » J’hausse les sourcils et le contourne. Ce mec me fait chier puissance mille. Et malheureusement pour moi, je dois me le farcir parce qu’on suit les mêmes cours de vente. Je ne sais pas pourquoi il s’obstine comme ça, je suis pourtant assez claire quand je lui dis que je ne quitterais pas Alexander ! Je lâche un soupir et commence à m’éloigner jusqu’à ce qu’il m’attrape par le bras. « Oh bon sang, je vais te… » WTF ? Il… Il m’embrasse là ?! J’ouvre de grands yeux et ne réagit pas immédiatement, trop surprise. Mais je le repousse finalement et ma main s’abat sur sa joue avec violence. « Ne recommence jamais ça ou je t’émascule en public, espèce de sale petit con ! » je fulmine avant de m’éloigner d’un pas pressant. Il est 12h, je suis en retard pour mon travail !
19h. Je pousse la porte de notre appartement, à Alexander et moi. « Alex ? C’est moi. » Aucune réponse. Bizarre, il est pourtant rentré à cette heure. Je m’avance jusque dans le salon. Bon, il a décidé de jouer à cache-cache ou quoi ?! Pas le jour de nos trois ans, quand même ! Je soupire, mi-agacée, mi-amusée et me dirige dans la chambre. Je m’arrête sur le seuil, consciente que quelque chose ne va pas. Il y a un truc qui cloche… Ah ! Je sais. Les affaires d’Alexander ne traînent plus par terre ! Il les a rangé ? Soit. Je me dirige vers l’armoire pour me changer mais me fige une fois celle-ci ouverte. Vide. Les affaires d’Alex ont disparu. C’est quoi cette connerie, encore ?! J’entends la porte s’ouvrir et me précipite dans le salon. « Alex, tu… » Je m’interromps. Ce n’est pas lui, mais un de ses amis. « Nathan ? Qu’est-ce que tu fais là ? » « Oh je… » Il se dandine d’un pied sur l’autre, visiblement mal à l’aise. « Je viens récupérer les affaires d’Alexander. » « Que… Quoi ? Mais il est où ? » Nathan récupère un carton qui traînait dans l’entrée et que je n’ai pas remarqué, puis se dirige vers la sortie. Au dernier moment, il se retourne. « C’est fini, Lou. Il m’a chargé de te le dire, toi et lui, c’est terminé. » lâche t’il avant de sortir. Je n’entends même pas la porte se refermer que je tombe à genoux sur le sol, secouée par les sanglots. Je n'ai même pas la force de courir après Nathan pour demander des explications. Il m’a quitté. Sans raison. Il m’avait dit pour toujours et il s’est barré, comme un con, comme un lâche, en m’envoyant un de ses connards d’ami pour rompre à sa place. J’ai mal. Comme un voleur, il est parti sans moi…
Un mois qu’Alexander est parti. Je ne sors plus de chez moi, je ne mange quasiment plus. Je reste couchée toute la journée, je pleure, je m’énerve, je pleure encore, je m’énerve de nouveau. Parfois je le traite d’enfoiré, de connard, de putain de gros con… Et d’autres fois, je supplie pour qu’il revienne. J’ai mal comme je n’ai jamais eu mal. Je ne pensais pas que ça ferait cet effet… La sensation d’avoir le cœur arraché à la petite cuillère. Comme si quelqu’un avait fait sortir mes intestins par ma bouche avant de m’étrangler avec. « Debout ! » Quelqu’un tire la couette. Je pousse un grognement et me roule en boule mais je sens quelqu’un me tirer. J’ouvre les yeux. « Maman ? » « Shiloë m’a appelé. Pourquoi tu ne m’as rien dit, Lou ? Je suis ta mère ! Tu aurais quand même pu me dire qu’Alexander était parti… » Je la regarde et éclate soudain en sanglots. Elle me prends dans ses bras et je me blotti contre elle, pleurant toutes les larmes de mon corps. « J’ai mal, maman… » « Je sais, ma chérie. Je sais. Pleure. Je suis là maintenant, je suis là… » murmure t’elle doucement en me berçant tendrement. « Il a changé de numéro… Il a totalement disparu et je ne sais même pas pourquoi… » je gémis lamentablement. Ma mère m’embrasse sur le front et me regarde. « Tu vas t’en sortir, ma chérie. D’accord ? » « Non. Non parce que… Maman… » Mes sanglots redoublent tandis que je suis sur le point de lui apprendre la terrible nouvelle. Je le sais depuis une semaine… Et je réfute cette idée, je ne peux pas l’accepter. « Je suis enceinte, maman… » je lâche soudainement en m’effondrant de nouveau. Ma mère se fige quelques secondes puis me regarde. « Lou. Lou calmes-toi ! Depuis combien de temps ? » « Le médecin a dit environ trois mois déjà… » « Ma chérie. Arrête de pleurer. Tu veux… » « Non ! Je ne veux pas le tuer. C’est mon bébé, c’est Alexander et moi, on… » Je m’interromps à cause de mes sanglots. J’ai l’impression d’avoir un trou béant à la place de la poitrine. Ma gorge me brûle, mon ventre est noué. Je reprends difficilement : « Je veux le garder mais… Mais pas l’élever. Pas sans lui… Je ne peux pas… Mais je ne veux pas abandonner ce bébé non plus… » Ma mère me force à m’asseoir et passe son bras autour de moi. « Ecoute, voilà ce qu’on va faire ma chérie… Tu vas garder ce bébé, et je l’élèverais. Après tout, je n’ai que 38 ans. Je m’occuperais de ton bébé, comme ça, tu pourras le voir autant que tu le souhaites. Ca va aller ma puce. Tout ira bien, n’aie pas peur. Ca va aller. »
Aujourd'hui, Alexander revient à Jerrytown, en pensant que Lou a quitté les lieux depuis. Ce qu'il ne sait pas, c'est qu'elle est toujours en ville et qu'elle l'a déjà aperçu. Lui ignore encore qu'elle est toujours ici, tout comme il ignore qu'il a une petite fille. Il revient avec sa fiancé, dont il n'est pas amoureux. Parce qu'au fond, il n'y a que Lou, il n'y a toujours eu que Lou et il n'y aura qu'elle, il le sait. Il n'est pas parvenu à l'oublier et encore aujourd'hui, il souffre terriblement en la revoyant embrasser cet autre gars, en pensant qu'elle l'a trompé et donc jamais aimé. Quand il la reverra, ça lui fera un choc. Surtout que Lou a la rage contre lui, elle le déteste de l'avoir abandonné comme ça. Elle risque donc de se montrer froide, voir même glaciale. Même si, dans le fond, elle l'aime encore.
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Sujet: Re: (m) jensenACKLES • now you're just somebody that i used to know... Dim 8 Avr - 18:52
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Sujet: Re: (m) jensenACKLES • now you're just somebody that i used to know... Dim 8 Avr - 18:54
tu sais que je t'aime, j'vais pas te le redire !
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Sujet: Re: (m) jensenACKLES • now you're just somebody that i used to know... Dim 8 Avr - 19:07
Si si, redis le
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Sujet: Re: (m) jensenACKLES • now you're just somebody that i used to know... Dim 8 Avr - 19:08
JE T'AIMEEEEEEEEEEEEEEEEEE comme un fou, comme un soldaaaaat !
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Sujet: Re: (m) jensenACKLES • now you're just somebody that i used to know... Dim 8 Avr - 19:25
comme une star de cinéma J'avais besoin de le savoir, merci, bonsoir ! Je t'aime aussi J'ai tellement trop ou pas assez d'idées pour mon Alexou que.. dans tous les cas, on va morfler là aussi
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Sujet: Re: (m) jensenACKLES • now you're just somebody that i used to know... Lun 9 Avr - 15:43
Tu m'aimes, je t'aime, on s'aimeeee on est des sadiques, que veux-tu on va rigoleeer
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Sujet: Re: (m) jensenACKLES • now you're just somebody that i used to know...
(m) jensenACKLES • now you're just somebody that i used to know...
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